La symphonie de l’âme
Dans l’univers délicat de la réflexion, Krishnamurti émerge tel un poète des profondeurs de l’âme. Telle une mélodie, cette citation résonne dans le silence méditatif : « La connaissance de soi est le commencement de la méditation. »
Pénétrons les méandres de cette énonciation comme on entreprend un voyage initiatique. Krishnamurti nous convie à déchiffrer le manuscrit mystique de notre être intérieur avant de nous aventurer dans le territoire méditatif. Car dans chaque pli de notre âme, dans chaque recoin de notre esprit, repose une clé, une invitation à la découverte.
C’est là, dans ce sanctuaire intime, que réside le début de la méditation, cette danse intemporelle entre l’ombre et la lumière de soi-même. Car, en vérité, le mystère ne serait-il pas la recherche du mystère elle-même ? Krishnamurti nous exhorte à ne pas craindre les profondeurs insondables de notre propre essence, mais plutôt à les embrasser comme un océan de possibilités.
La connaissance de soi devient alors le guide dans ce labyrinthe d’existences entrelacées. Chaque réflexion, chaque introspection, est une éclatante étoile qui guide notre navire intérieur. Car c’est dans la quête, dans la perpétuelle recherche du mystère, que réside la vraie essence de l’être.
Lorsque vous vous asseyez pour méditer, rappelez-vous que chaque silence est une symphonie de votre propre composition. Le mystère que vous cherchez est le tissu même de votre être.
Laisser un commentaire